Qui suis-je ?

 

ToToF est né un beau dimanche du mois de mai 1973, le 13 mai pour être exact, à 12h20 pour être encore plus précis, l’heure de l’apéro, ce qui augurait une belle carrière d’alcoolo !
D’autant que plus que sa mère était née Pinard, du pin utilisé pour fabriquer des tonneaux, et son père Barrau, de barral ou autrement dit le baril, un petit tonneau… le cadre était alors bel et bien posé. Sa sœur cadette, Sabine, allait d’ailleurs proroger la tradition en épousant un vigneron de Mercurey, une bien belle famille !!!

Mais revenons à notre mouton, ToToF est donc né à Vincennes, dans le Val-de-Marne, où travaillait alors son papa à l’usine Kodak… clic !
Il y passa aussi sa première année de vie qui fut trépidante. Mais il déménagea ensuite pour Chennevière-sur-Marne, où outre des performances remarquées en maternelle et au CP, il pratiqua une année la gymnastique ce qui lui donna ce corps de rêve qu’il a entretenu jusqu’à nos jours.
Mais en 1980, son père fut muté à l’usine Kodak de Chalon-sur-Saône… clac !
Épris de liberté, il demanda à ses parents de conserver l’appartement de Chennevière afin de pouvoir poursuivre la grandiose carrière qui l’attendait dans la région capitale… mais allez savoir pourquoi, ils refusèrent ! Malgré tout il déclara « Je reviendrai »… il tint parole.

Ainsi, et alors que bêtement il pensait que le béton était la norme, il découvrit la campagne et la nature dans une petite bourgade proche de Chalon-sur-Saône, dénommée Gergy.
Deux jours avant de s’approprier notre nouveau foyer, quelle ne fut pas notre surprise d’apprendre que notre maman avait donné la vie à un petit frère, Jérome, qui deviendra également un sacré farceur !
Intégrant la classe de CE1 du village, ToToF fit rapidement des jaloux parmi ses camarades devant ses talents innés pour la blague. Il s’y fit malgré tout quelques ami-e-s. Toujours à la recherche d’une performance optimale il incorpora alors l’équipe de football locale, le FFL Gergy-Verjux, où son jeu de jambes, maintenant devenu légendaire, fit des malheurs… surtout ceux de ses entraîneurs ! Mais une grande carrière de footballeur s’ouvrait donc à lui et connaîtra ainsi son apogée un certain 12 juillet 1998… dans l’arrière-salle d’un bar breton !

Mais n’allons pas trop vite… Il poursuit ensuite une enfance tranquille puis arrive l’adolescence où il découvrit les joies de l’acné, du rock and roll grâce Aux enfants du rock et aux premières radios FM, de l’informatique et de l’électronique… Alors, oui, ToToF a été un des précurseurs de ce qu’on dénommera plus tard le Geek… alors, un peu de respect les jeunes svp !
Il poursuit donc des études au Lycée Nicéphore Nièpce de Chalon où il compte tout d’abord obtenir un bac F2 d’électronicien… mais ses professeurs, devant ses résultats toujours exceptionnels, le pousse vers un bac E ; le bac C avec en plus de l’électronique et de la mécanique, bref le bac ultime. Malheureusement il découvre aussi les joies des sorties nocturnes avec ses potes… ses performances scolaires plongent donc, en même temps que monte sont taux de gamma GT.
Il loupe ainsi brillamment son bac en 1992 mais, entretemps, ayant décidé de passer le concours de l’École de Maistrance, l’école des sous-officiers, ou plus précisément des officiers mariniers de la Marine nationale, il y est reçu avec les honneurs dus à son rang !

Sa légende se poursuit donc dans la belle cité balnéaire de Brest où il excelle à nouveau par sa propension du moindre effort. Il finit malgré tout dans le premier tiers de sa promo et premier non-bachelier (comme quoi le bac, ça ne sert à rien). Il intègre ensuite l’école d’aéronautique navale de Rochefort-sur-Mer pour y suivre un Brevet d’Aptitude Technique d’Électronicien d’Aéronautique Navale.
Le mythe se perpétue ; il finit au milieu de tableau et parvient à déjouer les pronostics en obtenant une affectation à la Flottille 35F de Lanvéoc-Poulmic.

Retour donc en terre bretonne sur la presqu’île de Crozon. Il y est particulièrement remarqué pour sa bonne humeur contagieuse et son professionnalisme ; n’hésitant pas à dormir dans son véhicule en sortie de boîte de nuit devant les locaux de la 35F pour y être réveillé paisiblement par ses camarades de bon matin afin de ne pas louper l’appel de 8h (heureusement que c’était une allemande avec d’excellentes suspensions).
Il effectuera aussi un peu plus de 6 mois d’embarquement sur des navires de la Marine nationale dont son préféré, la Loire, à bord duquel, allez savoir pourquoi, on le surnommera « Luke la main froide » ? Il sera également détaché 6 mois sur l’hélicoptère de service public de Rochefort sur Mer où il participera en tant que technicien au sol à une demi-douzaine de missions de sauvetage.
Mais, la 35F étant équipée d’Alouette 2 et 3 ainsi que de Dauphin-Panther ferma à la mi-juillet 1998, il intégra alors le nouveau service informatique de la BAN (Base AéroNavale) de Lanvéoc-Poulmic.

Cette période de 2 ans, avant son retour à la vie civile, fut l’une des plus fastes de son existence. Non seulement il participait avec son pote et chef Hervé à la mise en place des premiers réseaux informatiques sur la BAN mais en plus ils furent constamment sollicités afin de monter des PC pour des particuliers, et ce de toute obédience – du marin à pompon à l’officier chef de service – et aussi pour des formations à domicile.
Ils troquèrent leurs compétences et transmissions de connaissance avec des contenants liquides d’un volume d’environ 75 cl, ce qui fit de leur bureau le bar clandestin le plus couru de Paris à Brest.
Pendant cette période, il reprit également ses exploits sportifs en intégrant le club de foot local : Lanvéoc Sports. Il y fut à la fois, joueur émérite et toujours célébré par les fans locaux, éducateurs pour les enfants (y’en a vraiment qui n’ont peur de rien) et dirigeant-bénévole.

Mais toute bonne chose ayant une fin, en l’an 2000 il quitta la Marine nationale pour retourner à la vie civile en tant qu’informaticien puis assistant de direction. Après avoir vécu une année chez sa regrettée grand-mère à Champigny-sur-Marne, il acheta ensuite un appartement à Créteil, entre le lac et le centre commercial… il tint donc parole en revenant dans son département d’origine !

Mais, outre ses activités liées à satisfaire ses besoins alimentaires toujours croissants, à partir d’ici ce sont ces activités extra-professionnelles qui vont devenir intéressantes.
Dans un premier temps, il adhère aux Verts pensant, bêtement, que la politique peut changer la vie des ses concitoyens. Donc, de 2000 à 2005, il côtoiera un ancien conseiller de Jospin et une future ministre, comme quoi l’un d’entre aux s’en est finalement mieux sorti !
Il met en place aussi le premier site internet des Verts 94 sous SPIP, bien que n’y connaissant rien à la base… mais peu à peu et son ambition reprenant le dessus il se trouve alors confronté au génie politique, mais inversement proportionnel à leurs compétences, de certains congénères nuisibles. En plus, ceux-ci ne cessaient de proclamer que « Les Verts faisaient de la politique autrement » tandis qu’ils avaient les mêmes pratiques qu’ailleurs… ce qui finalement se révèle être pire !

ToToF quitte donc les Verts puis fait une pause au niveau militantisme et en profite pour parfaire ses connaissances en biologie, naturalisme, théorie de l’évolution, etc… de là émergeront le projet Kahyia.
Puis, conformément à sa bêtise, il adhère en 2009 au NPA, séduit par le discours rassembleur d’Olivier Besancenot. Il ne lui faudra guère plus d’un an pour s’apercevoir que cela n’est encore une fois qu’une immense tromperie… qu’il est con parfois ToToF !

En 2010, en parallèle du développement du pré-projet Kahyia, il rejoint les rangs des militant-e-s de Greenpeace.
Peu à peu, et toujours mû par une ambition démesurée, il gravit les échelons en devenant successivement responsable de l’organisation de stands d’information, formateurs des militant-e-s, puis co-coordinateurs du Groupe Local de Paris chargé de la communication.
Début 2014, il intègre également le groupe local d’Alternatiba Paris puis est contacté par les dirigeants au Pays basque pour intégrer l’équipe nationale chargée de la communication. Ces compétences inégalables en tant que Webmaster, Community Manager et chargé des relations presse le pousseront en 2015 à suivre la formation de communicant éthique, social et solidaire de l’École des Métiers de l’Information.

Puis il participera du 1er juillet au 21 septembre 2015 au Tour de France en vélo d’Alternatiba en tant que chargé de communication et des relations presse, poste qui sera prorogé jusqu’à la fin de la COP21 du Bourget, qui comme chacun sait fut un énorme succès… malheureusement sans lendemain !
Durant cette période il volera quelques chaises dans des banques pratiquant l’évasion fiscale et, comme il en hébergera deux chez lui, il deviendra donc potentiellement milliardaire.
Mais continuant à parfaire ses connaissances en sciences naturelles, il s’aperçoit bien vite que ces collègues militant-e-s et les salarié-e-s dans les quelles il milite n’ont que peu de compétences en la matière… qu’est-ce qu’il a pu entendre, toujours d’ailleurs, comme conneries du genre « il faut sauver la Planète » !
Poursuivant en parallèle ses réflexions sur le projet Kahyia, il décide enfin de sauter le pas et de se mettre à l’écriture, ce qui se révéla être un immense succès comme nous le savons toutes et tous maintenant !

Dans la même période, il commence aussi à se passionner pour l’étude des chauves-souris et claque une grande partie de son salaire dans l’achat de matériel hors de prix. Puis, peu à peu, il se tourne vers la prise de son et le traitement audio continuant ainsi à dilapider ses maigres économies… L’écriture du premier récit de Kahyia ne lui ayant pas offert tout le plaisir qu’il escomptait, mais il reste malgré tout fier d’avoir tenter l’aventure et surtout d’avoir finaliser le projet, il se tourne alors vers la fiction sonore.
D’autant plus, qu’entretemps un soir d’hiver 2019, lui vient l’idée d’un second récit nommé Kima faisant suite à Kahyia et qu’il commence ainsi à réaliser sous une forme mixte, écrite et audio.

Puis survint le fameux confinement de 2020, période durant laquelle il profita de son temps libre pour bouffer des kilomètres de vidéos sur l’astrophysique, le big-bang, les trous noirs, etc… dans le but de développer de futurs projets postérieurs à Kahyia et Kima.
Il commence aussi à rédiger un nouveau scénario de fiction nommé Bunker qui sera, selon son petit doigt, une sorte de préquelle à Kahyia !
Enfin, il monte son propre site internet sur lequel vous êtes aujourd’hui afin de montrer au monde ses talents de sondier. Ne reste plus maintenant qu’à concrétiser les fictions sonores dont nous avons parlé plus haut…

[ to be continued… ]

 

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